Les conseillers financiers se défaussent de toute responsabilité dans leur analyse et leur octroi de crédits inappropriés.
Pourtant ils sont spécialistes en matière de financement et de gestion, donc bien conscients, mais n’hésitent pas à piéger leurs clients en leur proposant des prêts, et notamment des prêts de restructuration, qui leur rapportera beaucoup d’intérêts, de frais, de garanties, etc….
Le seul fait d’accepter de financer les entreprises devrait suffire à prouver qu’ils croient en leur rentabilité, et qu’ils ont bien étudié les projets qui leur sont soumis.
Toute la belle publicité qu’ils font et les beaux conseils qu’ils donnent semblent bien s’apparenter à de la publicité mensongère.
On a jamais vu une banque obligée de financer une installation ou un investissement.
Donc si elle s’engage, elle doit accompagner son client travailleur et de bonne foi jusqu’au bout de son investissement.
L’abandonner en cours de route et peu d’années après son installation comme c’est souvent le cas, démontre pour le moins une grave erreur, mais c’est l’emprunteur naïf qu’elle culpabilise à mort, le harcelant pour qu’il démissionne et qu’elle récupère ses biens pour parfois les transmettre à des administrateurs ou des acquéreurs bien introduits.
Bien sûr, les banquiers sont des commerçants d’argent, qui n’hésitent pas à faire de la publicité mensongère pour tromper leurs clients-esclaves et s’assurer de très confortables bénéfices à leurs dépens.
Et tout cela avec la bénédiction de la DDT, de la Chambre d’agriculture, des coopératives, des organisations professionnelles investies dans leurs conseils d’administration, qui tirent les marrons du feu…